Fantasmes

Dimanche 31 juillet 7 31 /07 /Juil 16:06

Je suis installée sur la table...Tous debout autour de moi j'en ai le vertige !!

 

Armand mène la danse avec Satyre un m'embrasse la bouche et l'autre la chatte...Satyre a décidé de me faire gicler devant tout le monde...il me branle sans ménagement...Armand lui me parle : "Joliemome cette nuit sera inoubliable, on va t'apprendre à être une gentille fille ! Et tu vas aimer...."

 

Je gicle sur la table alors Marie-cécile se jette entre mes cuisses avec avidité, elle me lèche, me mordille, me branle, me doigte....elle joue...Satyre branle mes seins avec le mari de Marie-cécile, Armand introduit ma bouche avec queue épaisse et la lime avec tendresse, il me dit "faire connaissance" avec mon orifice...j'ai envie de crier...je suis torturée par le plaisir d'être ainsi "utilisée" pour mon plaisir et celui de mes partenaires...

 

Pendant que je jouis de la bouche et du clito, la soubrette rentre dans la pièce...Armand cesse et Satyre ordonne à tous de s'arrêter !! Je me sens mal...je regarde la soubrette s'approcher...Armand lui demande de venir...plus près...je frissonne...elle est dodue, sexy et magnifiquement excitante...Armand lui demanda avec l'accord de satyre de monter sur moi en 69...et là je vis sa petite jupe de soubrette se soulever et une bite s'approcher de sa chatte...et au meme moment je sentis une bite s'introduire en moi...Mon dieu j'étais perdue avec toutes ses sensations...la soubrette prenait des fessées et je reconnus la bite qui la pénétrait avec vigueur celle de mon Satyre...il la limait à fond et la fessait ! leurs jus me coulait dans la bouche...et je sentais une bite énorme me baiser pendant que la soubrette lechait ma chatte...je ne pus retenir mes cris de jouuissance telle une chienne en ruth...je suppliais qu'on me baise encore...Satyre gicla dans ma bouche en râlant...elle cria sa jouissance !! Et je me mis à bouffer sa chatte...Et une deuxième bite vient la remplir...une bite noire...je fremis, je n'avais vu aucune autre personne, est-ce que c'était lui qui venait de me baiser ?? et la j'avais une autre bite en moi....rhoooooo j'étais au paradis, je jouissais sans retenue...

 

Au bout d'un moment, Satyre me fit mettre à quattre pattes sur la table et me fessa avec douceur...j'étais sienne au Paradis de notre union !

Par joliemome - Publié dans : Fantasmes
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Mardi 21 juin 2 21 /06 /Juin 17:40

 

C'était un de ces manoir du XIXème logé au creux d'un petit bois, entouré d'un  parc. Il faisait déjà nuit. L'hiver était froid, le manteau neigeux éparses  donnait un charme certain aux cimes des arbres. Dans la cour de gravillons,  plusieurs grosses voitures étaient déjà garées.

Jolie môme m'avait avouer avoir un peu peur. Mais, elle voulait vivre cette  expérience. Elle avait son collier de chienne. Elle s'était maquillée  outrageusement. Elle portait son corset rouge et noir laissant apparaître une  poitrine généreuse et lourde. et une jupe noire et droite descendant jusqu'au  genoux. Des bas résilles noires à grandes mailles ceignaient ses jambes. Elle  portait des escarpins noirs vernis. A ses poignées et à ses chevilles, j'avais  rajouté des rubans de soie noires et rouges.

- "Alors tu es prête à être jeté en pâture, chérie ?"

- "J'ai peur, je ne connais personne à part toi, tu es sur que c'est sans risque  ?"

- "Il n'y a pas de plaisir sans risque dans ce genre de fête."

- "Humm, tu n'es pas rassurant"

- "La peur fait partie du jeu. Allez, on y va."

Nous descendions de la voiture. Je mit la laisse au collier de Jolie Môme. Une  idée me traversa l'esprit.

- "Agenouille-toi et suce-moi salope !"

- "Quoi ici, là, maintenant ?"

- "Oui ! Allez obéit !!!"

Jolie môme se pencha en avant, sortie ma queue qui commençait à se gonfler et  commença à me sucer. Malgré le froid je devint dur comme du bois. et elle me  suçait déjà avec gloutonnerie en gémissant.

Une voiture se gara, je plaquait ma main sur la nuque de Jolie môme pour  l'empêcher de s'esquiver de sa tâche. Elle continua à me pomper la queue, je  m'étais appuyé sur le capot de la voiture. Un couple passa à moins de deux  mètres. La femme regarda mon sexe sucé par Jolie môme avec un sourire, elle avait  remarqué la laisse. Son homme nous regarda amusé.

Je me fis sucé encore quelques minutes, puis fit signe a Jolie môme de s'arrêter.  Je replaçais ma queue turgescente en place.

- "Allez, file déjà, comme une chienne qui ouvre la voie à son maître."

Jolie môme alla devant moi jusqu'à la limite autorisée par sa laisse. Un major  d'homme lui ouvrit la porte. Déjà on entendait des gémissements féminins se faire  entendre. Des cris de jouissance. Des rires. Des fouets qui claquaient.

- "Arrête-toi !"

Je sortis un bandeau, et bandais les yeux de Jolie môme.

- "Oh non je veux tout voir, les autres filles, les mecs, tout."

- "Pas tout de suite chérie ... mais promis, tu verras ..."

- "Ok"

Une fois aveuglé, je conduisis Jolie môme dans la pièce principale. Un grand  salon d'époque. Une dizaine de couple étaient là. Quatre serveuses offraient des  rafraîchissements sur des plateaux chromés. Une blonde aux seins énormes était  entièrement nue. Une brunette adolescente était en corset gothique, les seins à  l'air, elle avait des chaînettes allant d'un téton à l'autre. La troisième était  à quatre pattes, le plateau sur son dos et se déplaçait comme une chatte lente et  silencieuse.  Les convives lui claquaient les fesses au passage. Ses fesses  étaient devenues écarlates. La dernière, à genoux, suçait un homme tout en tenant  son plateau.

Déjà la plupart des femmes étaient "occupées". Ici allongé sur une table en train  de se faire prendre ou lécher. Une autre attaché à une croix de saint André en  train de se faire branler par un "bâton magique" (un sextoy des plus infernal et  efficace). Une autre était occupé par trois mâles et gémissait à qui mieux mieux.

Mais, au fond, je remarquais un africain, un athlète impressionnant, musclé et  nu. Il avait dû être huilé. Il besognait une femme rondouillarde qui s'était  installée à quatre pattes sur un sofa. Elle criait comme une damnée. Il la  baisait avec force. Je décidait de m'approcher avec jolie môme.

Nous devions traverser toute la salle. Je guidais mon esclave à travers "la  foule". L'atmosphère sentait le sexe. Je fis des "bonjour", des hochements de  tête, des sourires aux autres convives. Je ne connaissais personnes. Plusieurs  hôtes portaient déjà un regard sur Jolie môme. J'arrivais finalement au sofa.

- "Bonsoir" dis je en m'adressant au black.

- "Bonsoir, monsieur, désirez-vous quelque chose ?"

Il ne s'arrêta pas de baiser la bourgeoise dont les seins ballottais au rythme de  ses coups. Je remarquait la taille impressionnante de sa queue.

- "Ma chienne aimerait lécher. Madame voulez-vous une léchouille entre deux coups  de queue ?"

- "Oh oui, qu'elle me lèche ta chienne !!!" dit-elle essoufflée.

- "Allez, vas-y lèche"

Je guidais le visage de Jolie môme à l'entrecuisse ruisselant de la femme. Elle  se mit à la lécher goulûment, aspirant ses lèvres, lapant le jus, suçant le  clito. Jolie môme écarta les fesses de la femme qui se cambra en gémissant.

- "Putain, c'est une bonne lécheuse !"

Jolie môme s'affaira avec ardeur et dévotion sur la chatte pendant cinq bonne  minutes puis, tata aux alentours pour trouver le mâle. Elle tomba sur sa cuisse,  remonta rapidement à la recherche de sa queue. Elle pris l'objet en main et  branla le black, détourna sa tête et lui suça le gland. La queue était énorme. Au  moins 25 centimètre de long et sûrement presque 5 centimètre de diamètre. Jolie  môme avait du mal à la prendre en bouche. Comme la vulve de la dame était libre,  j'en profitais pour lui mettre directement trois doigts et la branla  vigoureusement.

- "Madame, je vais vous fister..."

- "Oh oui, vas y j'adore ça"

sa chatte était tellement dilaté par la queue du son ancien partenaire que je put  la fister directement. J'enfonçais ma main. Elle gémit. Je formais un poing et  commença à la branler. Elle cria des insanité et m'insulta.

- "Oh putain de salope de sa mère. Oh salaud, tu me fais du bien là. Oh oui,  enculé, branle moi ! Met la moi entière. Ah putain ce gros porc me fiste !!  Espèce d'enculé ! ..."

Je la besognais sans ménagement, elle me coulait sur la main. Jolie môme  regardais le spectacle tout en suçant avidement le membre du black qui lui tenait  les cheveux. J'humectais mon pouce libre, et le plaça sur l'anus de la  bourgeoise. Elle ne dit mot. Je lui caressais la rondelle pour l'humecter à  plusieurs reprise. Elle avait l'anus luisant quant je lui enfonça mon pouce  doucement dans le rectum tout en continuant de la besogner. Son trou était  accueillant et devait avoir l'habitude de se faire prendre. Je sorti ma queue  dure. Jolie môme l'attrapa au vol et changea de partenaire. Elle me suça, mais  continua de branler le black. Mon pouce avait fait son office. Le trou de la  bourgeoise s'élargissait. Je recueilli de la mouille sur ma main gauche et  enfonça mon majeur entier dans le trou de la bourgeoise. Rapidement, je lui  collais également mon index en plus, puis trois doigt s'engouffrèrent dans son  cul. Elle criait de plus belle, fistée, sodomisée, elle coulait. je fis signe au  black de venir remplacer ma main. Je me retirai de sa vulve, la queue d'ébène me  remplaça. Le black pris la bourgeoise par les hanches et lui asséna un coup  brutal. elle dû jouir car elle gicla !

Jolie môme me suçait toujours. Autour de nous, les choses n'avait pas changé. La  chatte-serveuse, passant à coté, j'en profitais pour lui claquer les fesses. Je  remarquais que son plateau était fixé à son dos par un harnais. Ingénieux et idée  à retenir !

Une belle femme noire aux formes opulentes attira mon regard. Elle était nue. Les  seins dressées, avec des tétons énormes. Elle avait une toison pubienne  généreuse. Elle avait remplacée la précédente femme sur la croix Saint André.  Menottée aux chevilles et aux poignets, elle était à la merci de tous,  mais  personne ne s'occupait d'elle. Ses yeux était bandés. Je me dégageais de la  bouche de jolie môme.

- "Mets toi à 4 pattes et suit moi"

Je tirai sur la laisse pour guider jolie môme et alla rejoindre la déesse d'ébène  offerte à la curée de mes désirs. Je commençais par pincer le téton droit de  cette femme offerte. Elle gémit. Je continuais en lui claquant le seins. Elle  gémis de plus belle. Je lui mit un doigt dans sa fente. elle était humide et  grasse. j'apportais mes doigts à mes narines et senti son odeur de femme.  J'apportais l'odeur au nez de ma chienne. Puis me doigt allèrent à la bouche de  la black qui les sucèrent sans hésitation.

- "Quel est ton nom ?"

- "Gisèle, mon seigneur"

- "As-tu un maître ?"

- "Non, mon seigneur, je suis à tout le monde."

- "Bien, je t'emmène pour un temps"

je la libérai et lui rendis la vue. J'enlevais le bandeau à Jolie môme également.

- "Nous allons nous trouver une chambre, j'ai envie que toutes les deux, vous vous occupiez de moi. Ensuite je vous libérerais."

Nous montions à l'étage. J'avais ordonné à mes chiennes de monter les escaliers à quatre pattes devant moi. Elles se déhanchaient à chaque marche, l'une le cul enveloppé dans le tissus de sa robe, l'autre cul nu, on devinait sa vulve brune et son anus au fond de la fente de son cul. A l'étage, on entendait de crier d'une femme qui visiblement se faisait fesser.

Nous passions à coté d'une chambre. La porte étant ouverte, je put voir une femme les mains liés à la barre horizontale d'un luxueux lit à baldaquin. On lui avait remonter la jupe et ses jupons, une culotte en dentelle blanche lui barrait les genoux. Ses fesses étaient rouges. Un homme la fessait vigoureusement.

- "Sale trainée, grosse pute, je vais t'apprendre à refuser mon jus !"

Sur le lit une autre femme se branlait la chatte les cuisses ouverte. Elle tirait la langue de manière obscène.

Nous passions à la chambre suivante. Un autre spectacle nous y attendait. Une chambre avec un simple lit poussé le long du mûr, laissant de la place au centre pour tous ces occupants. Une jeune femme complètement nue à l'exception d'une paire de bas, suçait à tour de rôle cinq hommes aux pantalons échoués à leurs chevilles. Elle donnait d'elle même, branla deux bites, en suçant une troisième.

Nous passions à la chambre suivante. Vide. Toujours, à quatre pattes, Je fit entrer Jolie môme et Gisèle. Jolie môme laissa Gisèle passé devant, mais avant que je ne pusse réagir, Jolie môme se précipita sur le cul de l'africain, lui écartant les fesses pour y enfourner sa langue dans le cul ! Je tirai sur la laisse, mais Gisèle recula pour avoir de nouveau la langue de Jolie môme dans son trou. Je décidais de les laisser jouer un peu, le temps de me déshabiller. Ce que je fis lentement ... Hors de contrôle, Jolie môme retourna Gisèle sur le dos et engouffra sa tête entre les jambes d'ébène de Gisèle. Cette dernière gémit et pris la tête de jolie môme entre ses main.

- "lèche moi ma belle, tu as de jolies rondeurs, moi aussi je te lécherai après."

Je pris ma cravache, de son bout je soulignais les fesses de Jolie môme. Je lui donnais un petit coup sur son cul rebondi.

- "Allez lèche !! Bave lui dessus !"

Jolie môme était toujours habillé de son corset et de sa jupe droite. Je me baissais pour ouvrir le zip de sa jupe, puis défit le nœud du ruban de soie qui maintenait son corset en place. En quelques instant les gros seins de Jolie môme étaient libéré de leur carcan. Alors qu'elle s'affairait à faire jouir Gisèle avec sa langue dans sa chatte, je lui ôtait défensivement le corset. Elle restait à moitié nue. je relevais sa jupe, dévoilant son porte jarretelle, ses bas. Bien sût, Jolie môme n'avait pas de culotte. Elle portait juste son bijou anal. Je lui fit écarter les jambes. Sa chatte était mouillé, elle sentait le cul ! Je lui claquais violement les fesses à quatre reprises. Elle gémit.

- "Quelle belle chienne fais-tu ma chérie"

Je sorti ma queue, et me positionna virilement entre ses jambes pour la prendre en levrette. Je fis pénétrer mon sexe dans son gouffre chaud et humide d'un seul coup, bien au fond, Jolie môme gémit. Je me servit de sa jupe remonter en une ceinture friper, comme on se servirait des rênes pour un cheval. Je chevauchait à grands coups de bite la chatte de ma chienne. Elle était juteuse, chaude, et me pompait à merveille. Gisèle lui maintenait tant bien que mal sa tête entre les cuisses. Jolie môme gémissait. Je me dégageait de son antre pour me relever et j'allais m'allonger sur le lit. Les deux femmes se donnèrent un regard complice.

- "Allez mesdames, si vous voulez regagner votre liberté vous allez devoir me faire juter."

- "Oh oui maître !" dit jolie môme.

- "Bien mon seigneur" enchérit Gisèle.

Jolie môme vint à califourchon sur mon visage pour me faire un facesitting. Dès lors je ne vit plus rien. Je devinait Gisèle entre mes cuisses. Jolie môme me goba le gland et commença à me pomper en me saliva sur la queue. Gisèle écarta mes cuisses les remonta sur sur épaules et commença a me bouffer les couilles. Elle me titilla l'anus d'un doigt (lequel ??) et je fut au paradis. une langue dans le cul, une bouche me suçant ardemment. Gisèle commença à me doigter le cul tout en me gobant les bourses. Jolie môme alternait fellation et le branlage de ma queue. Elle s'agitait sur mon visage, me trempant littéralement. Je dardais ma langue , elle y frottait son clito. Je commençait sérieusement à perdre pied avec la réalité tellement c'était bon. Gisèle commença à me titiller la prostate. Quelques instant plus tard je gémissais comme un fou. Jolie môme recommença à me pomper tout en gémissant, la situation l'excitait. Sa chatte devenait ruisselante. Je jouis quelques instant plus tard dans un râle animal qui fut étouffé immédiatement par les giclées en saccades de jolie môme qui jouissait littéralement de boire mon foutre. Alors que l'orgasme me dévastait, Gisèle continuait son massage intime et Jolie môme ne relâchait pas mon gland de sa bouche. Gisèle me branla le cul fougueusement, je jouis alors un seconde fois ! Jamais cela ne mettait encore arrivé. Je hurlais, Jolie môme se déversa une seconde fois sur mon visage mais de manière décuplé. Elle aussi jouissait de ma bouche sur sa chatte.

J'étais trempé, Jolie môme était béate. Gisèle farouchement fière de son "petit"  effet. Nous nous retrouvâmes tous les trois enlacé dans le grand lit. Gisèle  insatiable alla fourrer son visage dans l'entre jambe de Jolie môme. Celui-ci  gémit. Lorsque je revit le visage de Gisèle quelques instant plus tard, il était  à nouveau trempé. Jolie môme ne cessait de déverser ses liquides de  femme-fontaine au visage de sa lécheuse. Jolie môme m'embrassait tendrement  pendant que Gisèle s'affairait entre ses cuisses.

- "Elle m'a enlever mon bijou et mit un doigt dans le cul mon chéri ! Elle me  fait couler ..."

- "Ah oui ?"

Je me penchais sur le coté et engouffra a mon tour mon visage contre sa juteuse  chatte. Elle était gonflée. Son clito était dur et émergeait de sa chatte baveuse  et béante. Gisèle lui avait effectivement mit tout son majeur dans le cul et lui  léchait le pourtour de l'anus. J'entrepris de lui sucer le bouton. Immédiatement  Jolie môme reparti en délire. Gisèle rajouta facilement un doigt humide dans son  cul. Je buvais les jus de sa chatte et embrassait Gisèle à pleine bouche. Je  branlais le clito de Jolie môme qui déversa encore des giclées de bonheur. Elle  se relâchait complètement. Elle était arrivée dans un état second, d'une rare  beauté, comme transcender par son plaisir. le moindre effleurement à son sexe la  faisait couler. Gisèle lui bouffait les fesses, léchait son anus, salivait sur  ses doigts pour mieux le lui branler. j'entrepris de fister ma môme. trois doigt  pour commencer. Cela entrait facilement. Mais Gisèle m'enleva d'autorité la main  de la chatte affamée et y plaça directement sa fine main. Elle forma de suite le  poing et bourra sans ménagement ma chérie qui parti en délire.

- "Encule-la mon seigneur."

J'avais recommencé à bander, j'étais dur, le cul de Jolie môme était prêt. Je me  déplaçais pour changer de place avec Gisèle et me plaça au cul de ma chienne.  Gisèle m'octroya d'une courte fellation pour me baver sur la queue. Je mit mon  gland à l'entrée du rectum et poussa lentement. Il commençait à rentrer. Jolie  môme hoqueta, puis raffermit sa position.

- "Oh oui chérie encule ta salope !"

Je poussais plus avant mon intrusion. Tout mon gland passa, j'attendis un peu, je  sentais le poing de Gisèle s'affairer doucement dans le vagin de ma chérie. Des  bruits humides et obscènes s'entendaient. Dans ma place, je voyais un homme dans  le chambranle de la porte qui matait la scène en se faisant sucer par une femme  asiatique vêtu d'un kimono. Je poussais mon membre plus profondément. Jolie môme  gémit. Gisèle me pris les couilles en main et darda un doigt sur mon anus de sa  main libre. elle se baissa et lécha au niveau de l'anus, lubrifiant ma queue au  passage. Je me retirai du cul. Gisèle me pris en bouche complètement et déposa  une quantité impressionnante de salive sur ma queue. Me guidant avec la main  enserrant mes bourses, elle me fit enculer à nouveau Jolie môme qui gémit. Ma  bite alla plus profondément encore, jusqu'aux couilles. je reculais, puis  m'engouffrais à nouveau lentement. Je sentais le poing s'affairer. Je fis  quelques va et viens et vit Gisèle bouche ouverte, haletante comme une chienne.  Elle voulait ma bite. Je ressorti du cul de Jolie môme pour à nouveau me faire  sucer et polir la queue par mon esclave africaine. A nouveau, j'enculais Jolie  môme par des va et viens lent et mesuré. Le manège dura. Jolie môme et Gisèle  s'était repositionnée en 69. Gisèle ne fistait plus la môme. Mais j'enculais ma  chérie, Gisèle lui léchait la chatte et reprenait ma queue de temps en temps  quand je le lui donnait. Jolie môme gémissait à chaque fois. Je devenais de plus  en plus dur.

- "Tu es une grosse cochonne Gisèle !"

- "Oui mon seigneur."

- "Tu me donneras tes coordonnées ?"

- "Oui mon seigneur."

- "Tiens resucée moi encore."

Je lui redonnais ma queue. Je n'en pouvais plus. Je pris ma queue, j'enleva  sauvagement de la bouche de cette salope. et m'engouffra dans le cul de Jolie  môme sans retenue. Je pris les hanches de ma bien aimé et lui asséna des grands  dans le cul. Je la démontais, la baisais comme une chienne. Je la bourrais en  sauvage, égoïstement. Je senti qu'elle jouit. Elle avait éclaboussé la figure de  Gisèle qui rayonnait de bonheur. Cette vue m'excita tellement que j'en jouit dans  le cul de ma chérie sans pouvoir me retenir plus longtemps. Je me retirai, mais  Gisèle pris mon membre en bouche pour avoir mes dernières gouttes. je restais en  tenant les hanches de Jolie môme. Je vis son cul expulsé le sperme qui glissa le  long de sa fente et alla s'écraser droit sur le visage de Gisèle. les tâches  blanches constellaient ses joues, sa bouche, son front.

- "Donne moi ton cul, je veux tout boire !" ordonna t elle à Jolie môme.

Jolie môme se redressa, et donna accès à son anus ouvert et dilaté. Du sperme en  sorti encore. Gisèle darda sa langue et lécha l'anus en recueillant mon foutre.

Je m'écroulais sur le lit à coté de mes amantes.

- "Je vous libère de mon joug ! Je vous affranchi, pour le reste de la nuit !"

Je senti une bouche sur ma queue. Gisèle me la suçait ! Jolie môme était affalée.  Je pivotais sur ma hanche. D'une main, j'écartais mes fesses.

- "Gisèle lèche moi le cul"

Gisèle quitta ma queue et enfonça sa queue dans mon cul. Jolie môme avait repris  ses esprits.

- "Je suis libre ! Humm tu vas manger toi ! Alors comme çà on aime le cul  salaud. Tu te le fais bouffer par cette salope !"

Je regardais Jolie môme, interloqué, qu'allait-elle bien faire ?

Jolie môme se positionna debout sur le lit. Elle m'enjamba au dessus de mon  visage. Je voyais sa fente. Et là je compris presque trop tard. Une pluie d'or  m'inonda le visage. La chienne me pissait dessus ! Elle se retourna pour  ruisseler sur tout mon corps. Le liquide chaud et odorant arrosa ma queue.  Gisèle releva la tête, sourit béatement, et ouvrit la bouche pour recueillir le  liquide intime. Une fois la bouche pleine elle émit un jet jusqu'à mon visage  puis rigola. Elle se releva, m'enfourcha au visage, j'étais piégé. Et là Gisèle  m'urina dans la bouche et sur le visage. Je sut après (puisque je n'y voyait plus  rien à ce moment) que Jolie môme s'était mise à pisser sur Gisèle et moi. Elle  n'avait pas été au WC depuis le matin ! Il y en avait partout dans le lit. Gisèle  riait à gorge déployée.

- "Alors blanc bec ! tu te fais pisser dessus par tes esclaves !"

J'étais ébahi par tant de vice. Je sentis à nouveau une bouche sur ma queue. Jolie môme me suçait à nouveau. Elle me mit un doigt dans le cul et me massa la prostate. Je rebandais. Moi qui croyais que c'était fini ...

Je bouffais la chatte de Gisèle. Jolie môme s'occupait de ma queue et de mon cul. Qu'allions nous inventer de plus fou ?

 

Par Satyre - Publié dans : Fantasmes - Communauté : Récits Erotiques X
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Mercredi 27 avril 3 27 /04 /Avr 20:45

Ce soir mon Satyre d'amour va avoir une surprise... j'ai prevu de l'emmener dans une soirée organisée...il ne sait rien en arrivant à la maison, je ne suis pas là...il y a un mot sur la table dans une jolie enveloppe :

 

Parez-vous de vos plus beaux habits et préparez-vous à une soirée divine !

 

Quelques minutes plus tard, j'arrive à la maison en robe de soie rouge et corset sans sous-vêtement...J'ai droit à de nombreux baisers, Satyre est en costume...hummm! Je le guide à la voiture, lui bande les yeux, et le conduit à l'endroit...un manoir magnifique.

Je fais monter les marches à Satyre et lui ouvre enfin les yeux...face à nous pour nous accueillir une magnifique soubrette plantureuse, les seins à l'air sous un presque ridicule tablier...elle nous guide, nous la suivons en mattant son cul...

Nous rentrons dans la salle à manger..et là le Maître des lieux que j'apellerai Armand nous présente à tous. Nous sommes 4 couples. Armand explique à Satyre que les règles du jeu sont les suivantes : chacun des hommes doit guider et "dresser" sa compagne. J'ai donc provoqué ma première séance de dressage avec mon Satyre...

Il n'en revient pas, je le sens presque étourdi par l'annonce d'Armand. Et le jeu commence...

Nous passons à table...Satyre a reprit ses esprits et veut jouer, il le sait je n'attends que ça : Alors il me dit : "Jolie môme glisse toi sous le siège de Marie-cécile et lèche là (les sièges étant troués bien sûr!)...jusqu'à ce qu'elle jouisse !" J'exécute je me retrouve la tête sur un énorme coussin sous le siège de Marie-cécile et je la bouffe avidement...elle se tremousse...gemis, respire fort ! Son mari lui ordonne : "Ne jouis pas ! Resiste !" Elle n'en peut plus, je prend sa chatte avec ma langue...d'un coup elle crie, elle gicle dans ma bouche ! Je manque de jouir...

Son mari la soulève alors d'un coup du siège lui met les mains à plat sur la table, la trousse et commence à la fesser...elle rougit, elle serre les dents...Satyre lui me mets sur ses genoux...soulève ma robe et montre ma chatte à tous...je mouille...Marie-cécile a les fesses rouge et son mari demande si un de ces messieurs aimerait poursuivre la fessée ou la baiser...Armand vient se mettre derrière Marie-cécile, sort sa queue, enfile un preservatif et la pénetre debout devant tous...elle a des larmes qui coulent...ça m'excite ! Satyre me doigte...et d'un coup demande si on peut m'installer sur la table...je suis abasourdie !

Armand  a cessé de baiser Marie-cécile, qui est maintenant assise sur la queue de son mari et qui la lime doucement, me fait me lever...et m'asseoir sur la table, m'allonge, me mets un coussin sous les fesses et un sous la tête...

Satyre demande à tous et toutes de se lever...et de faire ce que bon lui semblera à sa jolie môme. Je ferme les yeux, Satyre me dit: "Ouvre les yeux sinon je te punis ! je t'encule sans preparation devant tout le monde" Alors je garde les yeux ouverts et j'attends...

 

Je poursuis l'écriture de cette histoire si on me réclame la suite...

Par joliemome - Publié dans : Fantasmes
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Mardi 26 avril 2 26 /04 /Avr 22:40

Cette histoire pourrait se produire un jour qui sait ? Les protagonistes étant comme d'ordinaire d'une part mon Satyre et moi-même, d'autre part...messieurs les routiers !

Un soir d'été, après une journée coquine entre nous deux, mon Satyre décide de partir, je dois d'abord m'habiller : le mot d'ordre ULTRA SEXY. Je décide de mettre une robe d'été courte avec une jolie culotte fendue et un soutien gorge assorti. Je me coiffe, me maquille, me parfume, mets des bijoux et de jolis talons. Je me sens excitée à l'idée d'une surprise.

Nous partons, dans la voiture j'ai l'ordre de me caresser pendant la routeet de bien écarter les cuisses pour me montrer...aux routiers nous sommes à present sur l'autoroute ! Je suis trempée, je sens qu'il va se passer quelque chose...

La nuit commence à tomber, nous avons des appels de phares...nous nous arrêtons sur une aire de repos... je vois de nombreux camions...j'ai chaud au cul...mon cheri me demande de monter à l'arrière d'écarter les cuisses à fond, de bien ouvrir mon con, qu'il baille, que l'on voit que je mouille comme une chienne. Ensuiteje baisse le haut de ma robe et je sors mes seins, j'ai ordre de les caresser et defaire durcir les tétons...je mouille et j'ai chaud au ventre.

Satyre me dit que des routiers ont senti que j'étais chaude et qu'ils regardent...il sort et passe derrière, il m'ordonne de le sucer à 4 pattes sur le siège arrière, lui est assis, je fourre ma tête entre ses cuisses pour lui dévorer la queue. Elle devient vite dure comme j'aime, je lui bouffe les couilles aussi, elle durcit encore...seulement j'oublie presque que je suis à 4 pattes robe relevée seins à l'air...et là j'entends la portière s'ouvrir, mon coeur est sur le point d'exploser. Je sens alors une main large et rêche qui flatte mon cul et passe mêmesur ma fente qui dégouline, puis une autre main plus petite plus douce...je tremble, je gemis avec la bite de mon cheri dans la bouche.

Les deux petites mains viennent agripper mes seins, les titiller, les pincer, je sens le corps de cet inconnu contre le mien, il me branle les seins, les claque un peu, j'ai un sursaut, je jouis presque...il s'arrête ! Le second, lui, s'interesse à mon gros cul, il me caresse sur la culotte glisse ses doigts dessous, s'amuse de la situation, je mouille fort, je le sens, j'aimerai me relever mais Satyre tient ma tête et me dit : "Suce ma jolie salope, ils vont te baiser et peut-etre meme t'enculer si tu es bien sage...tu vas jouir ma chienne!"

D'un coup, je sens des petits doigts fouiner ma chatte, ils se retirent et là, j'entends qu'on me goute...je suis presque effrayée...je suis traitée comme une proie...

Après les doigts, je sens une enorme bite me pénétrer sans ménagement...il me bourre et râle en jutant sur mon cul...je me sens chienne...Le second, prend le relais, il me prend doucement en gemissant, il glisse un doigt dans mon cul...puis deux...mon cheri lui joue avec mes seins et me surssure à l'oreille: "Alors c'est bon de se faire baiser ma chérie, tu aimes ? Celui-là va t'enculer ma jolie môme et te faire crier...je veux t'entendre c'est un ordre !"

L'inconnu pose son gland sur ma rondelle, il pousse, je supplie, il est large j'ai peur et je me crispe...Satyre claque mes fesses et ordonne : "Ouvre toi ou je te fistes le cul vilaine fille ! " Je m'ouvre direct, j'ai le feu aux joues et les larmes aux yeux...Satyre écarte mes fesses pour que l'autre m'encule à fond ...Un signe de Satyre et la bite est dans mon cul jusqu'à la garde et là c'est terminé, l'homme se déchaine, il m'encule avec force, mon cul est defoncé : je crie, je hurle, je jouis je pleure je tremble...il jute dans mon cul et râle comme un animal...il se retire d'un coup, je chancelle et tombe dans les bras de Satyre...

Mon amour me serre fort, me nettoie, me caresse, me caline doucement...me dit : "je t'adore ma salope, tu es magnifique quand tu jouis"

Par joliemome - Publié dans : Fantasmes
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Jeudi 21 avril 4 21 /04 /Avr 21:00

Déjà hier après midi, chez les X, tu avais été à la fête …

 

Ce matin tu dors profondément, nue, repue de sexe. Nous avons eut notre câlin de « réappropriation » de nous. Nous nous sommes retrouvés enlacé, nous avons tendrement fais l’amour pour mieux nous recentrer sur notre histoire. Nous avons chassé les autres de nos corps.


Rotation de IMG 0477Mais ce matin, je te veux chienne. Lubrique, objet de désir, objet de plaisir. Je te caresse la croupe, j’insinue un doigt dans la raie de tes fesses, je caresse ton anus. Tu gémis, tu te réveille. J’insiste, tu te cambre pour m’inciter à aller plus loin, tu es chatte.


- « suce-moi, ma belle chienne » te dis-je d’un ton sec.

 

Tu es surprise, as-tu bien compris ? Tu te réveille à peine.


- « Aller, suce-moi, chienne ! » te redis-je en te claquant la fesse.


Tu me regarde, je te souris, te fais un clin d’œil … notre jeu à déjà commencé te demandes-tu surement. Tu virevolte dans le lit et prends tendrement ma queue turgescente en bouche. Tusalive dessus, tu commence tendrement à me sucer. C’est bon, tu es une bonnesuceuse. Je prend ta nuque pour t’imposer un rythme plus soutenu, je ne veux pas de tendresse ce matin, je te veux chienne, salace, vicieuse, dévergondée.

 

- « Aller, suce moi la bien, tu aimes bien sucer des bites, hein salope !? et n’oublie pas de me gober les burnes »

 

J’adore les mots orduriers du matin, ils sont encore plus …
Tu as tes fesses à porter de main, le cul relevé, offert. Je t’assène quelques claques sur chaque fesse. Comme on encouragerait une jument en pleine course !
Tu semble avoir compris tu m’astiques la queue en bavant dessus, tu gémis. Cela t’excite. Tu me gobe les couilles une par une, ta salive dégouline. Tu reprends ma queue, tu me la bouffe. Tu m’écarte les cuisses et tu enfourne ton visage entre mes fesses. Tu dardes ta langue sur mon anus, tu le lèche, tu le goute, tu le cajole. Tu lui bave dessus. Déjà, je sais ce que tu vas entreprendre. Tu me doigte et reprends mon gland que tu tète.

 

- « Tu es une bonne salope ! Tu es belle. Continue, bouffe-moi le cul »


Tu te remets entre mes cuisses, la tête plongée dans mes fesses. Ta langue reprend le travail laissé par ton doigt. Tu m’encules avec ta langue. Hummm c’est un délice. Avec ma main libre, je constate ton excitation. Tu es trempée. Je mets tout de suite trois doigts dedans et darde le pouce sur ton clito. Tu gémis. Je me mets à te branler doucement. Tu coules sur mes doigts tellement tu as envie. Je te branle jusqu’à la garde du pouce, enfonçant mes doigts au maximum. Je te secoue un peu vigoureusement. Tu te cambres, déjà tu en veux plus. Je me retire, de ton antre humide et chaud. Je suce mes doigts, tout mes doigts car je vais te fister. Je te refourre tout mes doigts dans l’entrée de ta chatte. Tu pousses, tu as envie de prendre toute ma main. Tu m’aspires, tu t’agites comme une chienne en rut. Tu reprends ta pipe … encore plus chienne qu’avant. Mes doigts sont tous entrés. Je forme un poing. Tu te branles dessus. Quel spectacle ! Tu gémis, tu te tortilles, tu me suces goulument ! Quel spectacle !
Je me bouge. Je rampe sous toi entre tes cuisses sans retirer mon poing de ta chatte. Je me positionne. J’ai ton pubis sur mon visage, je vois mon poignet dans ton con. Je me mets à sucer ton bouton. Je le lape, je l’aspire, je le mordille. Il est gonflé. Tu sens le cul ! J’ai envie de te voir jouir. Tu me suce toujours, mais je suis comme anesthésié. Ma main te branle sans ménagement la chatte. De l’autre main je me mets à te branler le clito. Tu te cabres en criant. Tu jouis, tu jutes ! Tu m’asperges le visage de ton plaisir. J’adore quand tu te relâches ainsi. Tu vas inonder les draps. Je te sens transcender, ailleurs mais tellement là pour moi. Tu n’en finis pas de juter, je t’astique toujours, et tu m’éclabousse dessus. Fontaine ? Oui c’est le bon terme. Tu es tuée. Assassinée par ton plaisir. Quel pied tu as pris mon cœur hein ?! Tu tremble. Je crois même, que tu pleurs de plaisir. Mais ce matin, je vais être rude. Je ne veux pas en rester là.

 

- « Grosse salope, tu as encore jouit sans permission ! »


Je me retire de ton vagin. Tu émets une plainte … Te manque-t-il quelque chose ? As-tu perdu une main ? Sourire intérieur.


- « Reste à quatre pattes ! »


Tu n’es pas encore revenu de ton voyage. Je te mets rapidement ton collier de chienne. J’y fixe la laisse. Je trempe mes doigts dans le pot de lubrifiant encore ouvert de cette nuit. Je te fourre un doigt directement dans l’anus. Tu te cabre, gémis, proteste timidement.


- « Comme punition, tu vas en prendre plein le cul ! »


183137 169260536455239 100001138826049 346993 3422927 nJe fourre un deuxième doigt. Je m’attendais à une résistance, mais il passe comme une lettre à la poste. Je te sens prête. Je mets du gel sur ma queue tendue et dégoulinante de salive. Je me positionne derrière toi et enfonce mon gland dans l’entrée de ton cul. Tu blasphèmes une protestation banal et futile « oh non ». Mais de toi-même tu t’empales lentement sur ma queue. Tu as faim mon amour ? Je prends la laisse, la tend, tu es obligé de te cambrer. J’enfourne ton cul jusqu’à la garde. Tu te lamentes. Je commence à t’enculer doucement. Des va-et-vient lents mais profond. Tu commences à prendre ton pied, je le sens. Je tire sur la laisse. Tu dois être  à moitié étranglée mais je sens que tu aimes la situation. Tu cries de plaisir. J’accélère, j’ai envie de rugir, de jouir en toi.
Je commence sérieusement à te défoncer le cul ! Je te bourre, je lui assène des coups lourd et profond. Des bruits obscènes m’excitent. Maintenant tu cries ton plaisir. Je malmène ton trou. Je me retire, m’y ré-enfonce. Tu as le trou dilaté, ouvert, affamé. J’adore te voir dans cet état. Je ne me retiens plus. Je te défonce le cul ma chérie ! En un rugissement animal, tel un ours ou un lion, je jouis dans tes entrailles, en tirant sur la laisse de ma chienne. Tu jouis du cul au même instant. Je reste cabré dans tes reins, faisant palpiter ma queue dans ton antre. J’imagine les flots de foutre qui se déverse en toi, je te regarde en laisse comme une chienne en rut, enculée et ivre de plaisir. Cela prolonge  ma jouissance physique par un orgasme mental. On s’est encore fait du bien ma belle. La journée commence bien.

Par Satyre - Publié dans : Fantasmes - Communauté : Récits Erotiques X
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