Jeudi 21 avril 4 21 /04 /Avr 21:00

Déjà hier après midi, chez les X, tu avais été à la fête …

 

Ce matin tu dors profondément, nue, repue de sexe. Nous avons eut notre câlin de « réappropriation » de nous. Nous nous sommes retrouvés enlacé, nous avons tendrement fais l’amour pour mieux nous recentrer sur notre histoire. Nous avons chassé les autres de nos corps.


Rotation de IMG 0477Mais ce matin, je te veux chienne. Lubrique, objet de désir, objet de plaisir. Je te caresse la croupe, j’insinue un doigt dans la raie de tes fesses, je caresse ton anus. Tu gémis, tu te réveille. J’insiste, tu te cambre pour m’inciter à aller plus loin, tu es chatte.


- « suce-moi, ma belle chienne » te dis-je d’un ton sec.

 

Tu es surprise, as-tu bien compris ? Tu te réveille à peine.


- « Aller, suce-moi, chienne ! » te redis-je en te claquant la fesse.


Tu me regarde, je te souris, te fais un clin d’œil … notre jeu à déjà commencé te demandes-tu surement. Tu virevolte dans le lit et prends tendrement ma queue turgescente en bouche. Tusalive dessus, tu commence tendrement à me sucer. C’est bon, tu es une bonnesuceuse. Je prend ta nuque pour t’imposer un rythme plus soutenu, je ne veux pas de tendresse ce matin, je te veux chienne, salace, vicieuse, dévergondée.

 

- « Aller, suce moi la bien, tu aimes bien sucer des bites, hein salope !? et n’oublie pas de me gober les burnes »

 

J’adore les mots orduriers du matin, ils sont encore plus …
Tu as tes fesses à porter de main, le cul relevé, offert. Je t’assène quelques claques sur chaque fesse. Comme on encouragerait une jument en pleine course !
Tu semble avoir compris tu m’astiques la queue en bavant dessus, tu gémis. Cela t’excite. Tu me gobe les couilles une par une, ta salive dégouline. Tu reprends ma queue, tu me la bouffe. Tu m’écarte les cuisses et tu enfourne ton visage entre mes fesses. Tu dardes ta langue sur mon anus, tu le lèche, tu le goute, tu le cajole. Tu lui bave dessus. Déjà, je sais ce que tu vas entreprendre. Tu me doigte et reprends mon gland que tu tète.

 

- « Tu es une bonne salope ! Tu es belle. Continue, bouffe-moi le cul »


Tu te remets entre mes cuisses, la tête plongée dans mes fesses. Ta langue reprend le travail laissé par ton doigt. Tu m’encules avec ta langue. Hummm c’est un délice. Avec ma main libre, je constate ton excitation. Tu es trempée. Je mets tout de suite trois doigts dedans et darde le pouce sur ton clito. Tu gémis. Je me mets à te branler doucement. Tu coules sur mes doigts tellement tu as envie. Je te branle jusqu’à la garde du pouce, enfonçant mes doigts au maximum. Je te secoue un peu vigoureusement. Tu te cambres, déjà tu en veux plus. Je me retire, de ton antre humide et chaud. Je suce mes doigts, tout mes doigts car je vais te fister. Je te refourre tout mes doigts dans l’entrée de ta chatte. Tu pousses, tu as envie de prendre toute ma main. Tu m’aspires, tu t’agites comme une chienne en rut. Tu reprends ta pipe … encore plus chienne qu’avant. Mes doigts sont tous entrés. Je forme un poing. Tu te branles dessus. Quel spectacle ! Tu gémis, tu te tortilles, tu me suces goulument ! Quel spectacle !
Je me bouge. Je rampe sous toi entre tes cuisses sans retirer mon poing de ta chatte. Je me positionne. J’ai ton pubis sur mon visage, je vois mon poignet dans ton con. Je me mets à sucer ton bouton. Je le lape, je l’aspire, je le mordille. Il est gonflé. Tu sens le cul ! J’ai envie de te voir jouir. Tu me suce toujours, mais je suis comme anesthésié. Ma main te branle sans ménagement la chatte. De l’autre main je me mets à te branler le clito. Tu te cabres en criant. Tu jouis, tu jutes ! Tu m’asperges le visage de ton plaisir. J’adore quand tu te relâches ainsi. Tu vas inonder les draps. Je te sens transcender, ailleurs mais tellement là pour moi. Tu n’en finis pas de juter, je t’astique toujours, et tu m’éclabousse dessus. Fontaine ? Oui c’est le bon terme. Tu es tuée. Assassinée par ton plaisir. Quel pied tu as pris mon cœur hein ?! Tu tremble. Je crois même, que tu pleurs de plaisir. Mais ce matin, je vais être rude. Je ne veux pas en rester là.

 

- « Grosse salope, tu as encore jouit sans permission ! »


Je me retire de ton vagin. Tu émets une plainte … Te manque-t-il quelque chose ? As-tu perdu une main ? Sourire intérieur.


- « Reste à quatre pattes ! »


Tu n’es pas encore revenu de ton voyage. Je te mets rapidement ton collier de chienne. J’y fixe la laisse. Je trempe mes doigts dans le pot de lubrifiant encore ouvert de cette nuit. Je te fourre un doigt directement dans l’anus. Tu te cabre, gémis, proteste timidement.


- « Comme punition, tu vas en prendre plein le cul ! »


183137 169260536455239 100001138826049 346993 3422927 nJe fourre un deuxième doigt. Je m’attendais à une résistance, mais il passe comme une lettre à la poste. Je te sens prête. Je mets du gel sur ma queue tendue et dégoulinante de salive. Je me positionne derrière toi et enfonce mon gland dans l’entrée de ton cul. Tu blasphèmes une protestation banal et futile « oh non ». Mais de toi-même tu t’empales lentement sur ma queue. Tu as faim mon amour ? Je prends la laisse, la tend, tu es obligé de te cambrer. J’enfourne ton cul jusqu’à la garde. Tu te lamentes. Je commence à t’enculer doucement. Des va-et-vient lents mais profond. Tu commences à prendre ton pied, je le sens. Je tire sur la laisse. Tu dois être  à moitié étranglée mais je sens que tu aimes la situation. Tu cries de plaisir. J’accélère, j’ai envie de rugir, de jouir en toi.
Je commence sérieusement à te défoncer le cul ! Je te bourre, je lui assène des coups lourd et profond. Des bruits obscènes m’excitent. Maintenant tu cries ton plaisir. Je malmène ton trou. Je me retire, m’y ré-enfonce. Tu as le trou dilaté, ouvert, affamé. J’adore te voir dans cet état. Je ne me retiens plus. Je te défonce le cul ma chérie ! En un rugissement animal, tel un ours ou un lion, je jouis dans tes entrailles, en tirant sur la laisse de ma chienne. Tu jouis du cul au même instant. Je reste cabré dans tes reins, faisant palpiter ma queue dans ton antre. J’imagine les flots de foutre qui se déverse en toi, je te regarde en laisse comme une chienne en rut, enculée et ivre de plaisir. Cela prolonge  ma jouissance physique par un orgasme mental. On s’est encore fait du bien ma belle. La journée commence bien.

Par Satyre - Publié dans : Fantasmes - Communauté : Récits Erotiques X
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