Aujourd'hui, je me suis allé à rêvasser dans mon bain...
Je lui avais bandé les yeux avant de partir ... Elle portait une robe d'été, des espadrilles, un soutien gorge et c'est tout. Je l'avais amenée en voiture dans un endroit mystérieux. Il y faisait
sombre et humide, mais comme c'était l'été, il ne faisait pas froid. Il y avait une ambiance fraîche, cela sentait la vieille pierre, le bois et l'humus. Une petite dépendance dans une vieille
ferme fortifiée qui servait de remise à bois. Là parmi les fagots et les bûches, j'avais préparé une pile de vieux matelas...
Au mur il y avait un anneau planté là pour un ancien usage perdu. Au dessous de nous des poutres en bois vermoulu mais solide supportant la charpente de l'appentis. Elle n'avait aucune idée de
l'endroit où elle était. Je la sentais excitée, un peu . Je la plantais contre le mur de pierre, doucement, mais fermement en lui susurrant à l'oreille de patienter. Je fis passer une grosse
corde de chanvre (12mm de diamètre) au dessus de la poutre. Le bruit devait l'affoler ou l'exciter, je ne sais. Elle demanda "c'est quoi ce bruit". Je ne répondis pas. J'attachais une des
extrémité de la corde à l'anneau. Je lui pris délicatement les poignées et je la s avec les bracelets en cuir reliés par une chaîne. J'attachais la corde à l'anneau de la chaîne de ses bracelets.
Je lui fis soulevé légèrement les bras en utilisant la corde pour la maintenir ainsi à ma merci. Elle ne broncha pas.
Je profitais de sa soumission pour lui caresser les seins. Elle gémit, sourit... On voyait son bonheur sur son visage. Je lui caressais la croupe, instinctivement, elle écarta les jambes : elle
en voulait plus. Elle cambra les reins. Je lui mît une claque sur chaque fesse, prompt et sec. Elle se tortilla.
- "Que veux-tu ?" lui demandais-je.
- "Être ta chose, baise-moi, fourre-moi ... j'en peux plus !" répondit-elle.
- "Ah oui, vérifions ça"
Je passais ma main sous sa jupe, et plaçais mes doigts dans sa chatte. Elle était humide, chaude, palpitante ! Je la fouillait un peu pour recueillir ses moiteurs sur mes doigts. Puis une fois
pénétrée, je la branlais vigoureusement. Elle gémit :
- "Oui, oh c'est bon, branle-moi salaud".
Je retirais mes doigts avec une satisfaction perverses, la laissant frustrée,digne d'un sadique. Je humais son plaisir sur mes phalanges. Je goûtais. Je lui fis sentir et goûter les jus de
sa chatte.
- "Tu aimes être ma salope ?"
- "Oui je suis ta putain"
- "J'ai une trique en bois Ma Dame"
- "Prend-moi ... je t'en prie"
- "Tu aimerai hein ?"
- "Je veux te sucer, je veux ta queue et ton foutre en moi !" cria-t-elle.
Je la soupçonnais de vouloir m'attendrir.
Je me mis derrière elle, relevant sa jupe sur ses reins. Je profitais de la vue, en cajolant ses fesses généreuses et rebondies. Je fis glisser un doigt dans la raie de ses fesses. Il voyagea du
haut, vers l'anus, lentement, dépassa son petit trou et alla trouver l'entrée inondée de son vagin. Je la doigtais en profondeur, lentement. Elle donnait des coups de reins. Je rajoutais un
deuxième doigt. Elle gémit. Je ressorti, lui mit tous mes doigts dans sa bouche.
-"Allez, bave bien dessus ma belle, je vais te fister".
Les doigts en bouche, elle marmona quelque chose. "hummm hummm hummm". Je ne compris rien. Et je m'en moquais.
Toujours par derrière, je repris le même chemin, lui faisant écarter les jambes, la faisant se cambrer au maximum. Je lui mit trois doigts dans la chatte directement. Elle s'était ouverte. Elle
était inondée. Je la branlais, ses jus coulaient, les bruits obscènes de sa fente aspirante étaient un délice à entendre. Elle jouit une première fois.
- "Tu entends comme tu as envie d'être prise salope !".
Elle gémissait. C'était du pur bonheur. Je continuais de plus belle. Après quelques minutes de ce traitement, je lui mît un quatrième doigt. Seul le pouce restait dehors, il s'affairait à
pénétrer son anus. Joliemôme n'en pouvait plus, elle jouit une seconde fois rapidement. Les bras levés, à moitié fistée, la jupe relevée, elle me supplia :
- "J'ai mal au bras ... détache moi".
Entendant les suppliques de cette chienne en rut je lui demandais :
- "En échange de quoi madame ?".
Comprenant le jeu elle répondit :
- "Tout ce qu'il vous plaira mon seigneur".
- "Bien".
Je relâchais la corde prise dans l'anneau du mur. Elle s'affala au sol à quatre pattes.
- "Ne bouge pas catin" lui ordonnais-je.
Je lui fis baisser la tête, relevant en même temps sa robe sur ses reins. Je lui donnais plusieurs fessées vigoureusement.
-"Tout ce qui me plaira ?"
-"Oui mon seigneur"
Je me mit à genoux près de sa tête et sorti mon membre.
-"Sucez-moi ma dame"
Elle n'eut pas le temps de répondre, je guidais sa tête en lui prenant la nuque, elle avala mon chibre. Elle bavait. Elle me suçait goulument. Elle en mettait partout. Sa bouche me pompait, me
cajolait la bite. Sa langue me titillait. Elle m'aspirait, me relâchait, coulissait sur toute ma longueur, l'enfournait jusque dans sa gorge. Je manquais de jouir dans sa bouche tellement
l'excitation et sa fellation était bonne. Me sentant sur le point de non retour, je me retirais brusquement de sa bouche baveuse et gluante.
- " Ma Dame, cette bave qui coule de votre bouche vous rend belle !! Je vous adore !"
Je me précipitais derrière elle, lui écartant brutalement les genoux et la pénétrait d'un seul coup. Elle cria. Je lui pris les hanches et la bourra sauvagement. Elle défaillait, elle jouit une
troisième fois.
Je rangeais ma queue. Je léchais ma main pour l'enduire de salive et je présentais ma main entière à son vagin. Elle gémit. Une supplique ? Je forçais un peu, mes doigts rassemblés, et là elle
poussa et ma main disparue entièrement dans son trou gluant. Je repliais ma main en poing et commençais doucement à la branler de l'intérieur. Elle n'en pouvait plus. Elle même se branlait avec.
Elle poussait son bassin de haut en bas, sur les cotés, d'avant en arrière. Elle accéléra le rythme et se mit à crier. Elle était parti. Elle était en transe. Elle jouissait fort en criant son
plaisir. Je n''étais plus là... seule ma main comptait.
De l'autre main, je lui claquais les fesses, elle criait de plus belle, des "Oui", "Oh c'est bon", "Putain de merde", "Mon dieu", de "Ah putaaaaiiiiiin ..."
Un spectacle d'une rare beauté. Elle se finit toute seule, en jouissant fort, très fort, criant, gémissant . Puis s'affalant, elle m'entraîna avec elle, mon bras coincé dans sa chatte. Elle était
là comme un animal agonisant.
- "Tu sais que ce n'est pas fini" lui dis-je.
- "Hein ? Quoi ? Mais ..."
Elle ne finit pas sa phrase, je retirai doucement ma main de son con. Avec un effet de ventouses obscène, son vagin m'aspirait littéralement, elle gémit. Je profitais de la lubrification de ma
main pour lui fourrer mon majeur dans l'anus. Elle cria de surprise.
- "Oh putain"
- "Oui tu va prendre ma queue là ..." lui dis-je.
Comme si une nouvelle énergie l'a gagnait, elle se remit à quatre pattes prête à être prise.
- "Prends moi le cul comme une chienne, défonce moi, je veux ton foutre dans mon cul de salope".
Sans répondre, je lui branlais l'anus avec mon doigt. Elle même se tortillait dessus en gémissant. On entendait sa chatte se dégonfler, avec des flatulences mémorables. Je retirais mon doigt pour
lui en fourrer deux. Elle gémit de plus belle. Après quelques va et vient je sentis la détente du sphincter, elle était prête. Je me retirais, et lui fourra ma langue dans le cul pour y apporter
de la salive. Pendant ce temps, je sortais ma queue dure comme une barre à mine. Une fois le travail préparatoire achevé, je plaçais mon gland à l'entrée de son cul et lui dit :
- "Vas y empale toi, encule toi ma chérie".
Elle poussa légèrement, le gland passa sa tête dans l'anus. Elle marqua un temps de pause et poussa de nouveau. Le gland disparu complètement dans son anus, le début de ma queue était serré par
son sphincter. Elle gémissait. Elle devait la sentir passer !
- "Allez salope on va pas y passer la nuit !" lui dis je sèchement, en lui claquant les fesses !
Elle commença a se pistonner sur ma verge. Je lui crachais dans la raie des fesses. La salive lubrifia le reste de ma queue qui pénétra jusqu'à la garde le cul de cette déesse lubrique. Elle
soupira d'aise et commença a s'enculer avec des mouvements amples et profond, jouant aussi bien latéralement, qu'en profondeur. Elle tricotait du cul, le faisant rouler. Elle prenait son pied.
J'avais arrêté de compter.
- "tu aimes ça, te faire fouiller le cul, humm ?"
- "Oh oui"
Une fois bien en train, je lui pris les hanches pour prendre les chose en main. Je commençais par lui asséner des coups longs avec un coup de rein à la fin pour faire claquer mes couilles contre
sa chatte. Je lui assénais plusieurs coups de bourre ainsi. Elle criait. De nouveau, elle était partie, elle se lâchait complètement. Je pense que je l'ai perdu à ce moment là. Je n'étais plus là
pour elle. Je n'étais qu'une bite dans son cul. Je la bourrai plusieurs minutes ainsi avant de jouir dans son cul en un râle animal et majestueux. La bête hurlait de jouir ainsi dans le cul de sa
maîtresse.