Vendredi 25 mars
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19:25
C'était un soir
d'été, chaud, humide. Nous avions marché toute la journée, chiner le matin, déjeuné dans un restaurant bon marché en terrasse pour admirer les passantes et leurs formes à peine voilées. La
chaleur a du bon pour ce genre de chose. L'après midi nous avions été à la plage. Elle avait un bikini noir, qui mettait en valeur ses seins ronds et généreux, ses fesses dodues, ses cuisses
charnelles et ses mignons bourrelets du ventre que j'adore tant.
Nous nous étions baigné, nous nous étions échauffer dans l'eau et faisant glisser nos mains sous nos maillots. j'avais bandé fort, elle aimait me la prendre et me la serrer dans ces moments là.
En fin de journée, nous avions pris un verre toujours en terrasse.
Le village était sur les bords de la coté sauvage du Morbihan. Pourtant il n'y avait pas foule le soir. Après avoir dégusté tardivement quelques crustacés nous nous sommes promenés dans les
ruelles étroites et sinueuses dans le soleil couchant. J'aperçus un toute petite ruelle, passant sous un porche, désertique. J'entraînais ma belle dans l'espoir d'un moment intime. Après quelques
mètres nous n'étions plus visible. Il n'y avait personne. Les volets étaient clos. la ruelle sans lumière était à nous. J'entraînais tendrement ma douce contre un mur de granit. l'embrassait
doucement. posait mes mains sur ses hanches. Elle me dégrafa les boutons du jeans et engouffra sa main dans mon boxer. je me raidis aussitôt ! tout en m'embrassant goulûment, elle me sortie la
queue et me branla tendrement. J'étais dur comme du bois. elle se pencha pour me prendre en bouche, profita d'une saillie en pierre pour s'asseoir et commença a me lécher et me sucer ardemment.
Je voyais son magnifique décolleté et sa bouche gourmande aller et venir sur mon sexe. Elle m'adressa un sourire, se releva, souleva sa jupe et me susurra de la lécher. je m'exécutais. Elle avait
la chatte salée, humide et chaude. j'adorais cette odeur iodée provenant des bains du matin. je lui léchais le clitoris, aspirais ses lèvres, et grignotais la fente. Je lui mît très facilement un
doigt et la branla doucement, tendrement, elle gémit.
Elle se retourna et me demanda de la prendre. Je lui prenais les hanches et lui mit ma queue dans la fente. Elle s'y frotta, se repositionna, la pris en main pour la guider vers son trou bavant.
Elle s'empala dessus sans ménagement et commença a me dire de la bourrer. ce que je fit. Prenant ses hanches, j'accélérai le rythme, puis, préférant les coups puissant je lui assénait
quelques coups de queue jusqu'à la garde. Je la voyais s'empêcher de gémir. Je lui pris la gorge dans ma main, lui chuchotant à l'oreille des mots salaces. "Salope, cochonne, catin, foutre dans
ta bouche, chienne, ..." ...
Elle jouit ... elle se retira et rapidement me repris en bouche dans laquelle je jouis avec bonheur.
Nous étions en train de nous remettre quand nous aperçûmes un hommes dans la trentaine, la queue à la main en train de se branler ... une
oeillade entre nous trois fut le signe que nous ne resterions pas là ce soir ..., il se refroqua, et nous suivi a bonne distance jusqu'à notre hôtel. Sans un mot, il monta derrière nous dans
l'escalier. Une fois la porte ouverte, il pénétra dans ma chambre. La belle avait des étoiles dans les yeux.
Par Satyre
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Publié dans : Fantasmes
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