C’était une jolie journée, avec du soleil, un ciel bleu tâché de quelques nuages cotonneux. La prairie était fraiche, les cigales chantaient,
c’était bucolique, calme, une invitation au repos.
Elle était étendue nue sur la couverture. Elle prenait un bain de soleil. Ses seins lourds se soulevaient au rythme de sa respiration. Son joli ventre rebondi était un appel à poser une tête. La
petite toison de son sexe discret suscitait une main amoureuse.
Elle souriait. Elle avait les yeux fermés derrières ses lunettes de soleil. J’avais envi de lui faire l’amour, de la cajoler, de la faire jouir tendrement.
Je pris la brique de crème anglaise dans la glacière. J’en dévissais le bouchon et goutais quelques centilitres. Elle était fraiche et sucrée. J’averti jolie môme.
« Attention chérie, ça va être froid. »
« Humm mm ? »
Je versais la crème liquide sur son corps. Elle protesta.
« Mais qu’est-ce que tu fais ? Ah ! il va-y en avoir partout »
« Mais j’y compte bien ma chérie »
J’en versais sur ses seins, formant une sorte de T jusqu’au nombril. Sans faire attention, je m’allongeais sur elle, le visage à la hauteur de sa poitrine et commença à lui mangé littéralement
les seins. Je les suçais, les pompais ardemment, léchais le liquide, mordillais les tétons durcis par son excitation. Déjà je bandais dur contre sa cuisse. Jolie môme gémissait en s’étirant,
sortant de son demi-sommeil.
« Petit cochon, tu vas prendre la fessée après. »
« Humm humm. »
Je descendais le long de son ventre, mes mains prenant le relais en cajolant et titillant ses seins. La crème devenait collante, poisseuse. Je léchais jusqu’au nombril la crème sucrée. Je
relevais la tête et le torse, accroupit entre ses jambes, la bite tendue. Je repris la brique de crème et versais généreuse sur son pubis et son entre jambe. Jolie môme écarta les cuisses.
« Allez vas-y mets-en partout, joli pourceau, vient me bouffer la chatte. »
Sans un mot, sourire aux lèvres, ma tête plongea sur son sexe-dessert. Je lapais goulument d’abord. Ma langue écartait ses nymphes. Recueillant son jus et le lait. Jolie môme gémissait, prenait
ma tête pour me l’aplatir contre sa madeleine trempée de sauce. Je léchais ensuite plus méthodiquement. Nettoyeur, farfouilleur. J’avais le visage couvert de cette sauce collante et sucrée, les
narines pleines de vanilles des îles. Je m’attardais sur son bouton pour l’aspirer, le titiller, l’agacer. Elle écarta encore plus les cuisses, ondulant du bassin pour se le faire brouter. La
belle commençait à bien gémir, la jouissance finale approchait. J’humectais deux doigts et lui fourrais la vulve. Elle eut un soubresaut avant de revenir s’empaler sur mes doigts. Je la branlais
et la suçais en même temps. Elle jouit en quelques instants. Profitant de son état second, je la retournais sur le ventre.
Ses fesses étaient marquées par la couverture. Je repris la brique d’une main, de l’autre, je lui écartais la raie des fesses.
« Oh non ! »
« Mais sur que si ma chérie »
Le liquide jaune tapissa généreusement son cul.
Immédiatement ma bouche trouva son trou et je commençais ma feuille de rose vanillée. Elle gémit de plus belle ondulant du cul. La langue caressait l’anus, jouant avec les replis. Je dardais ma
langue pour pénétrer le trou. Elle écarta les jambes, je luis écartais le cul à pleine main pour lui faire de grande léchouille du clito au coccyx. Puis, je repris la route de son anus. Il
commençait à se dilater sous mes doux coups de langue, je pénétrais le tréfonds de son cul.
« Encule-moi chéri »
Bandant dur comme du bois, du bout de ma queue, je recueillis la mouille de sa fente, la faisant gémir au passage, et j’appuyais doucement mon gland contre son œillet sombre déjà ouvert. Elle se
cambra, et c’est elle qui s’empala doucement sur ma bite en gémissant comme une damnée.
« Putain c’est bon de se faire prendre le cul comme ça ! »
« Tu aimes ça ma cochonne hein ! Te faire prendre le cul ? »
« Humm, salaud, encules-moi bien, vas-y doucement, je veux que ça dure et que tu jouisses dans mon cul de salope. »
Je maintiens la pression, crachant sur mon pal pour le lubrifier. Et ma queue glissa lentement, pénétrant jusqu’à la garde le cul de Jolie môme.
« Oh putain, c’est bon ça ! Tu sais que je vais crier là … »
« Oh oui j’adore. »
Je commençais mes vas et viens. Doucement, tendrement, je faisais presque ressortir ma queue, pour mieux investir son rectum. Elle gémissait. Le rythme fut lent. Elle gémissait de plus en plus
fort. Cela m’excitait de plus en plus, j’avais envi de la défoncer, de la bourrer, d’utiliser ma queue comme un marteau-piqueur, mais je me retins. Ce fut lent, profond, tout en amplitude, je la
pompais littéralement. Son cul se relâcha. Moins serré, j’entrepris de ressortir et de refaire pénétrer ma bite. Elle gémissait comme une folle. Elle gicla sur la couverture. Elle venait de jouir
du cul. Je lui pris les hanches fermement et lui asséna un coup de bourre dans son cul. Elle fut estomaquée. Elle cria. Elle se rependit en sanglot et gicla de plus belle. Elle jouissait fort,
elle était en transe. Je l’enculais en lui pompant le cul doucement, ma queue ressortait complètement à chaque aller-retour. Elle couinait, à chaque pénétration. Elle pleurait. Son trou était
complètement ouvert. Une envi de fist me passa par la tête. Je lui remis un bon coup vif et puissant dans son cul. Une fois encore elle cria et se gicla dessus. N’y tenant plus je me mit à
l’enculer avec vigueur. Elle n’en finissait plus de crier. Je jouis rapidement dans son cul m’écroulant sur elle. Jolie môme était pantelante. Le souffle court, les larmes coulaient sur son
visage.
« Salaud … tu vas me payer ça, tu m’a prise comme une chienne ! Putain c’était trop bon, tu me refais ça dans 10 minutes ! »
Me retournant, je vis un couple qui nous matait à quelques mètres. La femme branlait son mec qui avait sorti sa queue. Elle s’astiquant la chatte la main dans la culotte, la jupe relevée à
moitié.
« On a fait spectacle chérie ! »
« Ah oui ? j’espère qu’ils ont apprécié ! »
« On va leur demander … »
Je leur fit signe de s’approcher. Ce qu’ils firent….