Ce soir on a fait les cochons.
Madame a été installé sur un drap sacrifiable. Elle a été enchaînée par des bracelet de cuir. Elle a eut les yeux bandés. Bien sûr elle savait ce qui allait lui arrivé. Elle riait. Elle était entousiaste, heureuse de renouveller ce jeu cochon encore une fois. Mais ce soir je voulais aller plus loin qu'un simple dessert vivant et érotique.
Or donc, en dessert j'ai tartiné madame avec une pâtisserie crémeuse à la framboise. J'ai écrasé le dessert sur son corps moelleux et dodu. J'ai étalé la crème, écrasé les fruits rouges. Les sensations étaient excitantes, comme une caresse glissante, grasses et sensuelle à la fois. Un sentiment de regression enfantine s'est emparé de moi. J'étais comme un gamin jouant dans la boue mais en beaucoup plus ludique et jouissif. Je prenais un plaisir sensuel à étaler la crème sur le corps de ma douce. Je n'ai épargné aucune des zones offertes par ma belle. J'ai recouvert ses seins, son ventre, son pubis et son sexe de ce nappage de crème.
Après ce tartinage des plus cochon, j'ai profité qu'elle soit aveugle pour ramener un petit instrument de torture. Un petit oeuf vibrant avec un fil et une télécommande. Je lui ai ouvert le sexe crèmeux avec une main, j'ai constaté que madame mouillait abandomment. J'ai écarté les petites lèvres fines et découvert le clitoris. Je l'ai légèrement branlé d'un doigt. J'ai accéléré, puis par pur amusement je me suis arrété net. J'ai attendu quelques instant avant de placer l'oeuf dans mes doigts. J'ai allumé l'engin, vitesse de vibration à mi puissance. Je l'ai placé, elle a émit un cri de surprise puis un souffle de satisfaction. Je l'ai branlé ardement en agitant l'oeuf tout autour du clito et sur le bouton en lui-même. J'ai joué avec la puissance vibration. Je l'ai même mit quelques temps dans son vagin trempé. Elle a finit par rendre les armes ! Elle a jouit et giclant et en hurlant son plaisir.
Ensuite, je l'ai prise. Jje lui ai relevé les jambes et j'ai enfoncé ma verge dans sa chatte trempé. Je me suis vautré sur elle comme dans la fange. Je la pilonnais tout en lui suçant les seins. Je la dévorais littérallement, elle et la crème qui recouvrait son corps. Je jouait avec la nourriture avec mes main pleine de crème et de fruit. Je lui donnais à manger tout en la baisant ardement. Ma queue étant dure, gonflée, je me sentais gros dans son sexe avide de coup de boutoir !
Je n'ai pas tardé à jouir tellement la situation m'excitais...
La prochaine fois on fera restau japonais, maki et baguettes ... je pense adorer ce que je vais pincer ou branler avec mes baguettes ... Qui veut venir diner japonais à la maison ?
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